Traiter les bouffées de chaleur et fuite urinaire sans médicaments et sans chirurgie

L’étiopathie est une méthode de soin douce, sans chirurgie, sans médicament, sans piqure ni aiguille qui s’attèle à chercher la cause du problème que vous présentez afin d’y proposer une solution naturelle et efficace rapidement.

Les femmes le savent bien, la sphère uro-génitale est fragile, sensible aux dérèglements et/ou infections tout au long de la vie notamment avec l’apparition de bouffées de chaleur et de fuite urinaire

Les bouffées de chaleur : une solution sans hormone ni complément naturel

Phénomène normal pour certains, anormal pour d’autres, les bouffées de chaleur gâchent la vie et les nuits de beaucoup de femmes. Voyons deux approches :

En médecine traditionnelle : 

medicamentsLa médecine traditionelle considèrent les bouffées de chaleur comme tout à fait normales, physiologiques  même si cette approche pose une question fondamentale : POURQUOI, dans ce cas, certaines  femmes en souffrent et d’autres pas ?

Leur approche des Bouffées de Chaleur est donc symptomatique. On ne soigne que les suées avec des Traitements Substitutifs Hormonaux (TSH) afin de minimiser la ménopause au niveau hormonal. Ces TSH peuvent être des crèmes aux œstrogènes, des patch ou des substitutifs plus doux à base de plantes plus ou moins efficaces selon les femmes.

L’efficacité du TSH est sans conteste sur les Bouffées de Chaleur, ainsi que sur la libido, les sècheresses vaginales, la peau… de quoi ravir toutes les femmes ménopausées. Mais les effets secondaires sont également sans conteste : problèmes cardiovasculaires graves (infarctus, AVC), suspicion de cancers hormonaux dépendants… de quoi faire réfléchir !

En étiopathie :

bouffee de chaleurNous considérons la ménopause comme un phénomène naturel, une évolution physiologique normale du corps. Elle entraine tout un cortège de changements mais n’a pas de conséquence majeure sur la vie sociale de la femme, ce qui est le cas pour beaucoup d’entre elles.

Les bouffées de chaleur apparaissent ainsi comme anormales. L’étiopathie va alors s’attacher à en trouver la cause. Les cycles féminins fonctionnent comme une boucle incluant 3 étages, l’hypothalamus qui commande l’hypophyse qui commande les ovaires qui commande l’hypothalamus.

hypothalamus-ovaires

Si un ou plusieurs des éléments de cette chaine dysfonctionnent, les cycles féminins fonctionnent de manière moins efficace mais la femme ne s’en rend pas forcément compte, c’est insidieux. Lorsque la ménopause arrive, ce dérèglement peut devenir plus gênant pour l’organisme et se manifeste par les bouffées de chaleur.

Le traitement consiste à relancer la circulation du sang dans le petit bassin (le bas du ventre où se situe notamment les ovaires et l’utérus en plein changement). Pour ceci l’étiopathe agit, entre autre :

  • sans donner ni médicament, ni substitut.
  • sur les nerfs des artères de l’utérus et des ovaires en débloquant entre autre le bassin par des techniques manuelles douces.
  • sur les nerfs des artères de l’hypothalamus et de l’hypophyse, des glandes agissant sur les cycles.
  • sur le ventre lui-même en exerçant un massage doux qui relance la circulation du sang dans le petit bassin.

Le traitement consiste en quelques séances étalées sur 1 à 3 mois. Les bouffées de chaleur disparaissent dans la plupart des cas. L’effet est visible dès la première ou deuxième séance, l’étiopathie étant très efficace sur la normalisation de la circulation pelvienne.

Les fuites urinaires : une approche sans chirurgie

douleur ventreAu même titre que les bouffées de chaleur, les fuites urinaires constituent un problème typiquement féminin qui gâche la vie d’un très grand nombre de femmes. Et contrairement à ce que l’on pense, il est sans rapport avec l’âge!

Ça commence par des pertes lors d’activités sportives ou lors d’éclats de rire. Progressivement, c’est la capacité à se retenir qui se dégrade… Et finalement, la vie des femmes se rythme soudainement en fonction de leurs fuites urinaires. Mais sachez que ce n’est pas une fatalité, bien au contraire.

L’approche médicale : fataliste et agressive

La médecine traditionnelle considère les fuites urinaires comme une chute du plancher pelvien, c’est-à-dire une descente de la vessie, la« descente d’organe ». Elle voit ce phénomène comme irrémédiable, lié aux grossesses et à l’âge et n’envisage qu’une solution agressive : la chirurgie. Elle consiste dans la pose de bandelettes urinaires qui, souvent, sont une solution temporaire car les femmes, après un sursaut d’espoir, voit les fuites reveni progressivement.

L’approche étiopathique : sereine et douce

Quel que soit l’âge que vous ayez, le problème reste le même. Il y a effectivement un relachement des moyens de soutien de la vessie, qui finie par descendre légèrement. Celle-ci n’étant pas exactement à sa place, le sphincter qui ferme la vessie devient défaillant. Un trouble de la circulation sanguine du petit bassin (où se situe la vessie) est souvent à l’origine de ce relâchement.

L’étiopathe va s’attacher à relancer cette circulation, sans chirurgie, sans médicament, en agissant :

  • Sur les nerfs des artères de la vessie, du sphincter et de ces moyens de soutien, en débloquant, entre autre, le bassin par des techniques manuelles douces.
  • Sur les nerfs du sphincter
  • Sur le ventre lui-même en exerçant un massage doux qui relance la circulation sanguine au niveau de la vessie et du périnée.

Le traitement consiste en quelques séances étalées sur 1 à 2 mois. L’effet est visible dès la première ou deuxième séance.  Fichier r fillatre fuite urinaire

Dans de rares cas, les lésions tissulaires de ces moyens de soutien sont tellement importantes que le tissu est dans l’incapacité de cicatriser et la remontée ne se produit pas. Mais il est important de noter que cela est rare et ne dépend absolument pas de l’ancienneté du problème.

A noter que certains cas d’incontinence urinaire complet (hors troubles psychiatriques et psychomoteur grave) ont la même origine que ces fuites urinaires et donc peuvent éventuellement trouver une solution efficace dans l’étiopathie.

Lire l’article sur les troubles propres de la femme